effet paradoxal de l'évitement
2 participants
Tutorat Licence Santé Lille Catho :: L1 - SHS/Ethique du Care :: Questions de cours et d'ED :: Psychologie
Page 1 sur 1
effet paradoxal de l'évitement
bonjour,
il y a une petit truc qui me gène dans le poly de psycho et dans ce que le prof a dit concernant le copping centré sur l'émotion et l'évitement qui auraient des effets dysfonctionnels.
il module ensuite ses propos en disant que l'évitement peut avoir des effets paradoxaux, a savoir des complication somatiques atténuées , et des perturbations émotionnelles aggravées.
pour moi ca devrait etre l'inverse non ? l'évitement contribuerai plus a réduire la détresse emotionnelle mais il y aurait aggravation des symptome physique ?
je ne comprends pas le point de vue du prof , si vous pouviez me l'expliquer ...
merci d'avance
il y a une petit truc qui me gène dans le poly de psycho et dans ce que le prof a dit concernant le copping centré sur l'émotion et l'évitement qui auraient des effets dysfonctionnels.
il module ensuite ses propos en disant que l'évitement peut avoir des effets paradoxaux, a savoir des complication somatiques atténuées , et des perturbations émotionnelles aggravées.
pour moi ca devrait etre l'inverse non ? l'évitement contribuerai plus a réduire la détresse emotionnelle mais il y aurait aggravation des symptome physique ?
je ne comprends pas le point de vue du prof , si vous pouviez me l'expliquer ...
merci d'avance
chti- Messages : 108
Date d'inscription : 17/11/2012
Re: effet paradoxal de l'évitement
Bonjour !
En fait, un type de coping ne peut pas vraiment être qualifié de dysfonctionnel en soit, puisque ça déprend grandement de la situation, de la personne etc.
Un coping centré sur les émotions et consistant à éviter le problème peut avoir des effets bénéfiques sur le moral (réduction du stress etc.) donc sur l'aspect somatique. Après, éviter le problème peut aider à garder le moral sur le moment, mais on aura un fond de culpabilité, au fond le problème est toujours là, on sait qu'on l'ignore mais qu'il va nous revenir dans la figure... Donc détresse émotionnelle (moi c'est comme ça que je le comprends, après je suis d'accord avec toi, ça prête à confusion)
Ca aurait des effets bénéfiques à court terme mais néfastes sur le développement moral et personnel du malade...
Tu saisis à peu près? (je sais c'est un peu tortueux comme raisonnement...)
En fait, un type de coping ne peut pas vraiment être qualifié de dysfonctionnel en soit, puisque ça déprend grandement de la situation, de la personne etc.
Un coping centré sur les émotions et consistant à éviter le problème peut avoir des effets bénéfiques sur le moral (réduction du stress etc.) donc sur l'aspect somatique. Après, éviter le problème peut aider à garder le moral sur le moment, mais on aura un fond de culpabilité, au fond le problème est toujours là, on sait qu'on l'ignore mais qu'il va nous revenir dans la figure... Donc détresse émotionnelle (moi c'est comme ça que je le comprends, après je suis d'accord avec toi, ça prête à confusion)
Ca aurait des effets bénéfiques à court terme mais néfastes sur le développement moral et personnel du malade...
Tu saisis à peu près? (je sais c'est un peu tortueux comme raisonnement...)
Constouche- Messages : 90
Date d'inscription : 12/10/2011
Age : 30
Localisation : Lille
Emploi/loisirs : Tuteur UE7
Sujets similaires
» Effet Bohr et effet Haldane
» effet homotrope et effet hétérotrope
» Effet bohr et effet aldane
» l'effet N4
» effet hamburger
» effet homotrope et effet hétérotrope
» Effet bohr et effet aldane
» l'effet N4
» effet hamburger
Tutorat Licence Santé Lille Catho :: L1 - SHS/Ethique du Care :: Questions de cours et d'ED :: Psychologie
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum